Oh, lit de roses,
Qu’ensemble l’on
S’y bien repose,
À l’unisson.
Une source intarissable
De joies délivre mon cœur,
Où nous serions tous sœurs.
Veux-tu en être insatiable ?
Enjoué de ce repas,
Je me baladais tranquille
Loin du bruit de la ville,
J’en percevais le trépas.
Quant à son habileté,
Elle fut délivrée, offerte
Lorsqu’à l‘épreuve certes
Sa responsabilité
Parti en quête.
Tu étais ma vocation.
Oh, ma jolie créature,
La foi par une rupture
Serait fruit de nos passions.
Elle est si douce et légère,
Cette bien placée colère,
Rien à faire.
En y repensant au calme,
Sans pression ni alarme,
Rien à faire.
Affliction désolante
Que de ne t’avoir connue
À la fois sous la bleue nue
Mais surtout comme passante.
Tu as gros à pardonner.
J’entreprendrai le chemin
Pour que je puisse demain
Dans ton cœur à nouveau trôner.
Sur l’amour dira-t’on toujours
Que sa place est en plein jour
Et qu’il s’égaye dans nos âmes
Lorsque la nuit s’enflamme.
Simplement, communément,
Naturellement vivant,
À la brise j’offre le vent
Sans réagir, sagement.
Passaient par le corridor
Oiseaux, poissons, animaux
Pris par les plus grands des maux,
Oubliant leurs sorts, la mort.
Qu’elles brulent, vives flammes,
De nos très animées âmes.
Le vent froid coule, à part,
Là où la nuit vient tard.
Temps de basse lumière
Offert à notre vallée.
N’aurait voulu un valet
Tant de hautes lumières.
Furtive, vive et naïve,
Cette confiance indue
Pour ce bête individu
À tout un chacun arrive.
Un mot de trop et la phrase
Qui avait bien commencée
Part ainsi se fiancer
Dans la plus joyeuse emphase.
Les ressources non connues
De mon âme timide
Laissent une place au vide
Et à mes pensées à nues.
Il n’y eut ni cataclysme,
Il n’y eut ni paroxysme,
Seulement tendresse et douceur
À l’aube de nos bonheurs.
Réussite et récompense,
Tu mérites quand on pense
À la tendre floraison
Des branches de ta raison.
Démunis, sans espérance,
On oubliait quasiment
Que cet homme gentiment
Eut la meilleure fragrance.
Kylian Mbappé frappe
Et le visage de sa mère
Comme la France entière
Fulmine, saute et dérape.
L’étoile solaire active
Fit monter au firmament
Et ma joie en rayonnant,
Et ses fibres créatives.
Simple et impartiale dune,
Ton sable se love en lune,
Sans véritable infortune
Que les versants couleur brune.
Respectable profondeur,
Si ce sous-marin est sondeur,
Il y trouvera les astres
Ainsi que leurs vues vastes.
Ça coule de source comme
Le soleil sur la prairie.
Nulle peur d’intempéries
Pour d’en paille le bonhomme,
Tel majordome
Dans la pairie.
L’ombre de lune ici
Aurait voulu qu’auprès de
Ce résineux je procède.
Ainsi, je finis assis.
La suspendue accalmie
Dans une forêt primaire
Buvait dans mon tendre verre
Et j’y faisais ma mie.
Vents déchaînés, rigoureux,
Par ce temps pluvieux, non
Pas me rendit sans raison,
Ils me rendaient fort heureux.
Je me promis monts et merveilles
En mon sommeil
D’or et vermeil,
J’en oubliais déjà la veille.
Découvrir le secret
Du tant et tant resté vierge,
Du tant et tant comme un cierge,
Du tout-puissant feu sacré.
Prométhée
L’a aimé
Et des berges
Moi qu’ai-je ?
La coulée,
Par la clarté,
Fait, dirige
Puis se fige.
La façade de ces sept
Immeubles haussmanniens,
Bien qu’aux multiples facettes,
M’érigea parisien
Légèrement soulagé
De cet effroyable rêve,
Je puis alors donc songer
À cette candide trêve.